Pardonnez-moi mon père
Maxiou, la trentaine, est un sans abris, considéré comme le « fou du quartier ». Pourtant ce dernier ne se définit pas comme fou mais plutôt comme un anarchiste individualiste pour qui ne compte que la liberté absolue de l'individu. Installé dans un confessionnal pour y trouver refuge, Maxiou ne s'attend pas à être prit pour le prêtre et à confesser des pénitents. D'ailleurs, il a une manière bien à lui de confesser leurs péchés...