« Tabataba », c’est d’abord participer à un témoignage de l’histoire, permettre aux mémoires, à la Mémoire, de se reconstituer dit Jacques Le Glou, producteur du film.
Madagascar, 1947 : 100 000 morts. Comme une plaie, Tabataba est une trace de l’histoire, celle du soulèvement malgache contre la France coloniale. Un soulèvement sévèrement réprimé. Une bataille perdue sur laquelle ce film revient à travers les yeux d’un gamin, le frère de Lehidy venu au nom du MDRM (parti pour l’indépendance de l’île) annoncer qu’il faut prendre les armes.